Qu’est-ce qu’une moto custom ?

La moto custom s’est fortement popularisée en Amérique vers les années 60. Il s’agit d’une moto entièrement transformée pour ne plus présenter aucune pièce d’origine (ou presque). La position d’assise peut ne plus être confortable dans ce cas, puisque la moto vous force à avoir le dos en arrière et les jambes levées. La fourche est très longue, le guidon est très haut ou très court, l’angle de chasse peut également être démesuré. Bref, c’est un deux-roues difficile à conduire. La moto custom tel que le chopper est pourtant le modèle le plus emblématique des bikers.

Ce que dit la loi concernant le custom d’une moto

Selon la loi, lorsque vous modifiez votre moto déjà immatriculée, vous devez aussi modifier son certificat d’immatriculation. Les modifications sont celles qui touchent le moteur et le comportement de l’engin, mais aussi son aspect. De ce fait, si vous utilisez des roues plus grandes pour votre moto, vous aurez besoin d’une nouvelle homologation pour le véhicule. D’une manière générale, vous êtes libre de donner le look que vous voulez à votre deux-roues, mais vous devez déclarer les modifications effectuées.

Que disent les assurances ?

Un accessoire homologué peut ne plus l’être s’il n’est pas utilisé comme il est supposé l’être sur une moto. Si par exemple vous installez des phares homologués qui ne correspondent pas au modèle de votre deux-roues, il n’y aura aucune homologation. En d’autres termes, vous devez faire attention aux modifications que vous apportez à votre engin sous peine de voir votre contrat d’assurance résiliée. Malgré tout, vous devez informer votre assurance dès que vous modifiez votre deux-roues. Dans de nombreux cas, votre contrat peut être maintenu en modifiant simplement certains termes.

Etre indemnisé en cas de vol

Le nombre de Français utilisant le vélo comme moyen de transport ne cesse de s’accroitre. Si les villes apprécient ce geste écologique, elles se désolent des cas de vol de vélo qui deviennent de plus en plus fréquents. Il semblerait, en effet, que chaque jour en France, 1 000 vélos sont déclarés volés. Pour éviter cela, verrouillez votre vélo d’un cadenas adapté. Souscrivez également à une assurance vélo pour bénéficier de garanties pour le vélo. Contrairement à l’assurance habitation qui ne couvre votre vélo que s’il est dérobé sous votre toit, l’assurance vélo sur https://www.assurancevelo.net/ couvre le vol en tout lieu : au bureau, dans la rue, etc. Vous serez ainsi indemnisé en cas de vol. Vous pourrez vous servir de l’argent pour financer l’achat d’un nouveau vélo.

Remboursement des frais de réparation

Votre vélo pourrait subir des dommages en cas de chutes, d’accidents ou d’incident de transport. En souscrivant à une assurance vélo, les frais de réparation et l’achat des pièces de rechange peuvent être pris en charge.

Assistance en cas de souci

Tout comme les voitures, les vélos ne sont pas à l’abri d’une crevaison ou d’une panne (notamment pour les vélos électriques). Si l’incident se produit au cours d’une virée loin de chez vous et d’un atelier de réparation, ne paniquez pas. Si vous avez souscrit à un contrat d’assurance vélo avec assistance, votre assureur contactera une équipe pour vous épauler. Il enverra quelqu’un pour dépanner le vélo ou le rapatrier en taxi. Ce type de service n’est-il pas pratique ?

Faites votre choix de voiture

Si vous envisagez une location de voiture à Toulouse, réfléchissez au type de voiture dont vous avez besoin. Est-ce que c’est une 4 x 4 qu’il vous faut ? Ou une berline, un break, une citadine, une compacte ? Tout dépend de l’utilisation que vous allez en faire. Emmènerez-vous votre famille pour un long voyage ? Ou bien c’est pour un usage professionnel ? Voulez-vous un modèle classique, économique ou une voiture de luxe ?

Ce sont les réponses à ces questions qui vous guideront vers la voiture à louer. Mais vous devez aussi vous demander si vous préférez une thermique, une hybride ou une électrique. Ce sont des facteurs qui comptent beaucoup aujourd’hui dans le choix d’une voiture de location. Calculez aussi ce que vous pouvez mettre pour cette location, surtout si vous en avez pour plusieurs jours ou plusieurs semaines à Toulouse. Vous pouvez utiliser un comparateur pour comparer les différents loueurs de la ville.

Pour information, il est tout à fait possible de trouver une location à partir de 6 euros par jour à Toulouse. Une fois que vous aurez fait votre choix sur internet, rendez-vous sur le site web de l’agence. Vous aurez alors accès aux véhicules disponibles, à leurs caractéristiques et le prix de location. Voyez ce qui correspond au mieux à ce dont vous avez besoin. Vous pouvez aussi appeler directement si vous avez des questions. Puis, réservez en ligne, souvent cela donne lieu à une réduction.

Où louer une voiture pas chère à Toulouse ?

Les agences de location de voiture à Toulouse sont nombreuses. Si vous comptez découvrir ce joyau occitan, il est conseillé de réserver avant votre arrivée. Ainsi, dès que vous êtes à destination, vous disposez de votre voiture de location et pouvez commencer l’aventure. Les grands loueurs comme SIXT, HERTZ, Europcar sont présents sur place.

Il y a aussi ADA, Avis bien sûr, Happycar, autant d’agences où vous pouvez choisir le véhicule qui vous convient. Ces différentes agences peuvent pratiquer des petits prix à certaines périodes de l’année ou selon la formule demandée. Cependant, sachez que ce sont les sites intermédiaires qui proposent les prix les plus bas.

Rendez-vous sur Stress Free Car Rental, OuiCar, Free2Move pour une location à prix mini. N’oubliez pas non plus de vous rendre sur la plateforme de référence pour louer une voiture en France, https://www.roadstr.fr/location-voiture-toulouse. Ce qui différencie ce service de location de voiture des autres, c’est que vous louez une voiture déjà existante. C’est la voiture d’un particulier que vous louez, le plus proche de l’aéroport où vous débarquez ou de votre domicile.

Il s’agit donc d’une location plus responsable parce que le système ne repose pas sur la production de nouvelles voitures. De plus, vous bénéficiez d’une assurance tous risques et vous ne payez pas un supplément pour un deuxième conducteur.

Pourquoi respecter la régularité de l’entretien de votre 2 roues ?

Eviter des dangers à haut risque

Les scooters électriques sont équipés d’un moteur puissant, ce qui signifie que certains d’entre eux peuvent atteindre une vitesse assez importante. Donc, lorsque votre scooter électrique est mal entretenu, les risques d’accident sont assez élevés et peuvent être mortels. De ce fait, un entretien régulier contribue à éliminer ces risques.

Garantir de la fiabilité du scooter

Des défauts au niveau de la batterie, du moteur ou des pneus peuvent impacter les performances de votre engin. Une maintenance et un entretien réguliers vous donnent ainsi la possibilité de rééquilibrer la pression des pneus et de vous assurer que la batterie a une charge assez raisonnable pour garantir son bon fonctionnement.

Eviter des réparations coûteuses

Le prix d’achat d’un scooter électrique de qualité comme les scooters SILENCE peut être important, mais les avantages d’une telle acquisition sont nombreux. Ce type d’engin est écologique. Ne nécessitant pas d’essence ou de gasoil, il est économique. Il ne demande pas beaucoup d’entretien. Qui plus est, si vous effectuez régulièrement son entretien, vous éviterez des réparations coûteuses dues à une batterie ou à un moteur défectueux. Bref, pour prolonger la durée de vie de votre engin, ne négligez pas l’entretien de votre 2 roues.

Quelques conseils d’entretien

Veillez à charger souvent la batterie

Le scooter électrique n’est pas ce qu’il est sans batterie. Bien qu’il soit possible de l’utiliser comme un scooter manuel lorsque les batteries sont éteintes, il serait toujours plus judicieux de vérifier si la charge des batteries est suffisante et peut couvrir tout le trajet que vous aurez à effectuer. Les batteries des scooters électriques sont souvent au lithium-ion et elles ont une durée de vie à absolument tenir en tête. Donc, pour maximiser ses performances, chargez-la à 100 % tous les deux ou trois jours. Néanmoins, évitez de charger directement la batterie de votre scooter électrique lorsqu’elle est complètement vide, mais utilisez plutôt un survolteur.

Rangez votre scooter dans un endroit sûr

Vous devez ranger votre scooter électrique dans un endroit sûr et sécurisé. Cela évite non seulement les vols, mais garantit également une durée de vie optimale. Lorsque vous rangez votre scooter, tenez compte de la lumière du soleil et de la température ambiante. En effet, un endroit trop chaud ou trop froid risque d’endommager la batterie.

Vérifiez la pression des pneus avant de rouler

Un bon gonflage des pneus garantit une autonomie maximale de votre scooter électrique. Pour gonfler les pneus de votre engin, vous pouvez utiliser une simple jauge à pneu de vélo. Voyez également si les pneus ne sont pas endommagés. Si c’est le cas, remplacez-les.

Respectez la fréquence d’entretien

Les scooters électriques ne sont pas soumis à une fréquence d’entretien spécifique ni au contrôle technique. Votre routine se fera donc en fonction de la fréquence d’utilisation de votre scooter électrique. En général, vous devez procéder à de petites vérifications après chaque utilisation.

Vérifiez-en l’extérieur et le moteur

Vous vous dites peut-être que la vérification de l’extérieur est la partie la plus aisée, d’autant plus que tout vous sautera aux yeux si jamais il y a des défauts. Imaginez un instant que vous êtes devant une belle voiture récemment peinte. Vous vous dites chanceux, car en plus d’être à bon prix, le véhicule vient d’être doté d’une peinture toute neuve. Méfiez-vous ! Cela peut vouloir dire que la voiture a eu un accident et le propriétaire cache les dégâts sous des couches de peinture. Le problème, c’est que la carrosserie est peut-être refaite entièrement, mais il est difficile de juger l’ampleur et la gravité des dommages subis. Surtout, prenez le temps d’analyser minutieusement le moteur et de la mécanique.

Examinez la voiture sous toutes les coutures

Surtout, lorsque vous devez aller examiner la voiture, faites-le de jour pour qu’aucune imperfection ne vous échappe. Puis, procédez à l’analyse de l’intérieur, l’état des plastiques ou des cuirs, des tissus, des moquettes, etc. Ensuite, ne manquez pas de comparer les kilométrages inscrits sur le carnet d’entretien et celui sur le tableau de bord. Vérifiez le frein à main, la climatisation, mettez le moteur en marche et écoutez son bruit, roulez pour voir le comportement de la voiture lors des freinages. Soyez attentif au passage des vitesses et voyez comment réagit l’embrayage. Si possible, demandez à faire un test sur plusieurs types de routes.

Un cliquet vers le haut ou vers l’arrière

Ce type de bruit indique un mauvais réglage des carburateurs. Cela se manifeste généralement par l’augmentation de chaleur entre la queue de soupape et le culbuteur. Trop d’avance à l’allumage peut aussi causer le bruit vers le haut tout comme la mauvaise qualité du carburant. Pensez aussi à vérifier la bougie. En outre, le problème est lié à l’embrayage si le cliquet est vers l’arrière.

Un cognement vers le bas

Il se peut que vous entendiez des bruits de cognement irritants vers le bas du moteur. Vous devrez prévoir de grosses réparations si ce genre de problème apparait surtout si vous n’intervenez pas rapidement. Le problème peut être causé par l’apparition d’un jeu au niveau de la liaison du vilebrequin et de la bielle. Dans ce genre de situation, il vous est recommandé de remplacer au plus vite les coussinets. Sinon, vous serez obligé de remplacer l’embiellage en entier.

Un bruit de crécelle à l’avant

Ce genre de bruit est généralement causé par la détérioration de la chaîne de distribution de la moto. Cet élément se met alors à frotter avec le carter et peut finir par causer d’importants dégâts. Cela peut se manifester au niveau de la chaîne ou du carter ou les deux en même temps. Il se peut que la chaîne saute au-dessus des dents des pignons. Cela entrainera une cassure et entrainer la mise en contact des soupapes avec les pistons.

Un bruit de sirène à l’arrière

La moto commence à émettre des bruits de sirène quand vous roulez ? Cela peut être causé par un manque d’huile ou une défaillance de la boîte de vitesse. Notez que le bruit peut changer du changement de rapport et de la vitesse que vous engagez. Votre mécanicien peut aussi déceler l’usure du pignon ou d’un roulement.

A définir avant de faire vos recherches

Commencez par définir votre profil. Êtes-vous un jeune conducteur ? Avez-vous déjà eu des malus ? etc.
Vous devriez aussi déterminer l’usage du véhicule à assurer. En effet, une assurance pour véhicule personnel est différente d’une assurance pour voiture professionnelle.
Il faut aussi déterminer le budget que vous comptez allouer pour l’assurance du véhicule.
La région où vous assurez le véhicule est aussi déterminante dans le choix de l’assurance auto. Cela ne concernera pas uniquement le coût du contrat. En effet, la garantie peut aussi dépendre de la région couverte par la compagnie d’assurance. Ainsi, vous devriez fournir des informations claires et complètes à votre assureur pour éviter de mauvaises surprises.

L’assurance auto pour jeune conducteur

La majorité des compagnies d’assurance ont tendance à considérer les jeunes chauffeurs comme étant des conducteurs à risques. Cela est dû au fait que leur manque d’expérience peut les exposer à des risques d’accident. Effectivement, les jeunes de 18 à 25 ans sont ceux qui font le plus d’accidents. Cela est valable, peu importe les pistes. C’est pour cette raison que les assureurs imposent plus de conditions sur les contrats d’assurance qu’ils leur proposent.
Un jeune conducteur doit s’attendre à ce que la compagnie adapte un contrat particulier pour son cas. Afin de protéger les intérêts de l’assureur, ce dernier propose une cotisation assez élevée. Mais le coût peut être réduit si le conducteur opte pour une conduite accompagnée. Il peut aussi choisir un véhicule de faible valeur tout en choisissant le même assureur que ses parents.

L’assurance tous risques est-elle nécessaire ?

Les compagnies d’assurances ont chacune leurs niveaux de protection. Ces options peuvent montrer de nombreux avantages. Mais, il ne faut pas non plus négliger les limites que vous pourriez ressentir. Dans tous les cas, vous aurez plus d’avantages si vous optez pour un contrat d’assurance auto tous risques. Vous aurez droit à une prise en charge complète en signant une assurance tous risques, et ce que vous soyez responsable ou non d’un sinistre.

Avec les avantages qu’elle peut offrir, vous devez vous attendre à ce que ce type d’assurance soit plus coûteux. Par conséquent, cette option ne peut être proposée que si vous avez le budget nécessaire pour votre assurance auto.
La valeur du véhicule est aussi importante tout comme la fréquence d’utilisation. Il est inutile de choisir une assurance tous risques si vous ne sortez pas régulièrement en voiture ou si vous conduisez une voiture d’occasion.

Quel prix pour votre assurance auto ?

Vous pourriez parfaitement obtenir une prime d’assurance auto pour alléger le budget alloué au contrat. Cela peut principalement varier d’une région à une autre. Sachez aussi que la compagnie prendra le temps d’évaluer votre situation en évaluant les risques qu’elle prend. Elle se protégera certainement des diverses indemnisations si vous présentez trop de risque. De ce fait, l’assureur peut vous proposer des cotisations élevées avant de signer le contrat.

En tout cas, le prix d’une assurance auto peut dépendre de la formule que vous choisirez ainsi que le bonus-malus. Votre niveau de franchise sera aussi pris en compte tout comme l’âge du véhicule et le fait que vous habitiez en milieu urbain ou rural. Les garanties optionnelles peuvent également avoir un impact sur le coût d’une assurance auto.

Comparer des devis avant de prendre une décision

Sachez avant tout que l’envoi d’une demande de devis est rapide et gratuit. Vous n’attendrez pas non plus longtemps pour obtenir une réponse à chaque demande. Vous pourrez ainsi comparer les offres qui vous seront proposées avant de prendre une décision. Attention, ne demandez des devis qu’auprès des assureurs présents dans votre ville ou région. Pour gagner du temps, vous pouvez utiliser un comparateur d’assurances pour trouver en quelques clics une assurance auto à Lyon ou ailleurs.

Vous pouvez envoyer directement des demandes auprès des compagnies d’assurances que vous trouverez. Mais vous pouvez aussi vous tourner vers des courtiers qui vous aideront à dénicher la meilleure offre. Il suffit de donner au courtier les détails dont vous avez besoin pour obtenir des réponses répondant à vos attentes.

Quels sont les types d’assurances pour une moto

Il y a 3 types d’assurance :
La première, l’assurance obligatoire sert à couvrir l’indispensable « responsabilité civile ». Les dégâts causés à sa moto et les dommages corporels, en cas d’accident responsable, ne sont pas pris en compte.
La seconde, la responsabilité civile incluant les dégâts d’origine accidentelle, un incendie ou même une explosion.
La dernière, les assurances facultatives qui peuvent offrir des garanties de « dommage collisions », dommage par accident, accident individuel, vol-incendie, défense-recours.

La meilleure option pour l’assurance moto

Selon la loi en vigueur, il est obligatoire de souscrire à une assurance pour tout type de véhicule motorisé. Les risques sont omniprésents, et les obstacles sont nombreux et imprévisibles. Donc, l’assurance est primordiale pour éviter de perdre nos droits. Il est de notre devoir de bien respecter toutes les règlementations à la conduite comme le port d’un casque, par exemple. Faut-il connaître à quel genre d’assureur doit-on avoir confiance ? Il faut aussi savoir les bons rapports qualité-prix et la prise en charge des sinistres dès l’adhésion. Le conducteur doit garantir la responsabilité civile, dite l’assurance au tiers. L’assurance responsabilité civile pour tous les conducteurs d’un véhicule à deux roues, que celui-ci soit puissant ou non, est une véritable obligation pour une protection maximale sur la route. Conduire nécessite sérénité et prudence car sur la route, les dangers peuvent survenir à tout moment et il faut savoir anticiper afin de les éviter.

Un dégraissage durant le nettoyage

Les motards sont tous conscients de l’importance du nettoyage de leur machine. Toutefois, peu d’entre eux savent qu’il est important que cette séance de lavage doit être accompagnée par un dégraissage des roues. Le mieux est d’utiliser des produits destinés pour cette tâche.
Mais pour faire plus simple, misez sur une liquide vaisselle que vous pourrez par la suite rincer avec de l’eau claire. Vous n’aurez pas besoin d’une importante quantité pour avoir des résultats satisfaisants. Dans le cas contraire, vous risquerez de constater un corps collant sur votre engin après le nettoyage.

Un entretien fréquent

Pour que votre moto puisse être un investissement à long terme, son entretien est une tâche obligatoire. Cette dernière doit être réalisée aussi souvent que possible afin d’augmenter la durée de vie de votre machine. Toutefois, vous devez vous référer à son manuel d’entretien pour ne pas aller dans l’excès. Ce document vous informe sur les actions que vous devez faire et leur fréquence.
En général, vous ne devez pas oublier de faire les vidanges périodiquement. Ces derniers concernent le moteur et de la boîte de vitesse. Il est également conseillé que vous vérifiez mensuellement la pression des freins. Par contre, la tension de la chaine doit être examinée régulièrement.

Faire attention à son emplacement

En dernier lieu, vous devez veiller à l’endroit où vous allez placer votre moto. Les conditions météorologiques ont des rôles à jouer dans la détérioration de votre engin. De préférence, garez celui-ci dans un lieu à l’abri de l’humidité. Si possible, dotez-lui d’une housse de protection hermétique.

Une déclaration de cession est-elle si utile ?

Une déclaration de cession est très utile, car elle atteste la transmission d’un véhicule d’une personne à une autre. Cette démarche sert de preuve du transfert du véhicule vers son nouveau propriétaire. Dès lors que la déclaration de cession est effectuée, un véhicule appartient à 100 % à son nouvel acquéreur ou bénéficiaire et celui-ci pourra alors immatriculer ce véhicule à son nom, c’est-à-dire faire établir la carte grise dont il est à présent le titulaire. Sans ce sésame, le nouveau propriétaire n’a aucune possibilité de procéder à l’immatriculation du véhicule à son nom. Il est à noter que la déclaration de cession d’un véhicule est nécessaire lors de la vente ou du don d’un véhicule. Même si un véhicule est destiné à la destruction, cette déclaration de cession reste obligatoire. En d’autres termes, le certificat de cession, qu’il est possible de demander sur www.portail-cartegrise.fr, valide le transfert de propriété du véhicule.

Bref, une déclaration de cession est indispensable si on vend un véhicule à un tiers, si on en fait don à un tiers (un ami, un collègue, un neveu ou autres), et si on vend ou donne son véhicule pour destruction. Déclarer la cession de son véhicule est donc une formalité officielle imposée par la loi. Sont concernés par cette obligation les véhicules terrestres motorisés tels qu’un scooter, une moto, une voiture et un camion, mais également une remorque dont le PTAC est supérieur à 500 kg et une caravane dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 500 kg.

Les raisons de procéder à la déclaration de cession d’un véhicule

L’acheteur ou le bénéficiaire du véhicule peut demander le changement de propriétaire sur la carte grise, à condition que la déclaration de cession soit faite dans les règles. En effet, le vendeur ne peut conclure la vente sans cette déclaration de cession. L’acheteur de son côté ne peut entrer en possession du véhicule en l’absence de cette déclaration. C’est au moment de la transaction que le vendeur doit remettre à l’acheteur le certificat de cession. Mais ce n’est pas le seul document à transférer au nouveau propriétaire, il faut aussi lui remettre le certificat de non-gage du véhicule (ou le certificat d’immatriculation) ainsi que le procès-verbal de contrôle technique.

Bien que les procédures administratives peuvent être parfois contraignantes et prendre du temps, celles concernant la déclaration de cession ne doivent pas être négligées. Oui, grâce au certificat de cession, l’ancien propriétaire n’est plus responsable de tout ce qui peut arriver au véhicule. Sur le plan légal, il est dégagé de toute responsabilité par rapport au véhicule, que celui-ci soit impliqué dans un accident ou qu’il ait reçu une contravention. Quelles que soient les infractions que pourrait commettre le nouveau propriétaire à bord du véhicule, le vendeur ne sera plus inquiété. Puis, l’acheteur peut enfin être le véritable propriétaire du véhicule, car il peut facilement obtenir l’immatriculation à son nom. Il peut ainsi utiliser le véhicule comme bon lui semble.

Démarches concernant la déclaration de cession

Qui doit faire la déclaration de cession et quand l’effectuer ? C’est au titulaire du véhicule qu’incombe le devoir d’en faire la déclaration de cession. Autrement dit, c’est celui dont le nom et le prénom apparaissent sur la carte grise qui est le seul à avoir le droit de mettre en vente un véhicule. S’il y a un co-titulaire ou plusieurs, il faut absolument en obtenir sa ou leur signature avant de pouvoir procéder à la vente.

À noter que si le véhicule en question est en leasing, il est tout simplement impossible de le mettre en vente, encore moins le donner ou le céder pour destruction, puisque le propriétaire reste l’organisme prêteur.

En cas de changement de domicile, il faut aussi déclarer ce changement dans un délai de 1 mois. Si cette déclaration de changement d’adresse n’est pas réalisée durant cette période, la vente ou le don du véhicule ne pourra pas non plus se faire.

Concrètement, la déclaration de cession d’un véhicule se fait en trois étapes :
– avant la transaction proprement dite, le vendeur doit imprimer en deux exemplaires le Cerfa 15776.

– au cours de la transaction, lorsque la vente est conclue, les deux parties doivent remplir soigneusement le formulaire imprimé et chacun garde le sien.

– après la transaction, le vendeur doit effectuer la déclaration de cession sous 15 jours.